Lucien Rebatet, Les deux etendards, Le nozze di Figaro:
Michel était plongé dans un enchantement qu’il n’attendait guère, et
sur lequel passait par instants une seule ombre. Il se tournait alors
vers le profil impassible de Régis. Il lui eût été intolérable que Régis ne
ressentît pas, lui aussi, le choc des grands jours. Mais Régis, à l’entracte, se déclarait ébloui.
— Quels acteurs ! Quels chanteurs ! Il me semble que jusqu’à ce soir,
j’ignorais Mozart.
— Hein ? Qu’en dis-tu, des barbares germaniques du père Maurras ?